Lisboa

Au printemps, j'ai passé 4 jours à Lisbonne. Je n’avais jamais été au Portugal et j’ai été agréablement surprise par la ville aux 7 collines.
Je me suis baladée dans ses rues et ses quartiers, équipée d’un reflex Nikon D7000 et d'un objectif grand angle ; chaussée de baskets. Difficile de monter et descendre les rues de Lisbonne sans une bonne paire de sneakers.
Lisbonne est une ville pimpante.
Les amateurs de paysages urbains au look doucement rétro se régaleront.


Je suis arrivée à l’aéroport de Lisbonne, par un vol Transavia depuis Paris Orly. Je suis descendue au Be Lisbon hotel, situé Rua Pascoal de Melo. Une vingtaine de minutes en métro et 7 minutes de plus à pied, vous y êtes : je recommande sincèrement cette auberge. C’est neuf, calme et assez proche du centre.
Et puis tout a commencé dans le quartier de la Baixa sur les rives du Tage.


Ma première découverte de Lisbonne a lieu par la ville basse. Je me trouve sur la place du Commerce, la praça do Comercio, bordée de galeries de style néoclassique. Les façades sont d’un jaune éclatant, comme certaines cabines des tramways qui transitent sur cette place, au bas de l’arc de triomphe.
Il y a un monde fou. Une scène de musique est montée, un concert se prépare. La statue équestre du roi Joseph Ier tournée vers le Tage occupe le centre de la praça do Comercio. Je prends le soleil, il brille dans un grand ciel bleu sur cette première journée lisboète.
Je m’approche d’un large balcon de pierre qui s’avance sur le fleuve. Sur ma droite, un bout de plage est aménagée. Une jeune femme pose les pieds dans l’eau devant l’objectif, un chapeau sur la tête.
Je sors l'appareil. Lisbonne, à nous 3.


J'ai pris un ticket et suis montée au sommet de l’arc de triomphe de la rua Agosta. C’est ma première observation de la ville depuis un point de vue. Le premier d’une longue série.
La rua Agosta fourmille de monde, tel l’épicentre commerçant de la ville. De grands immeubles se font face à l’identique. J’observe le parfait quadrillage des rues, l’enchevêtrement des maisons et des immeubles colorés perchés sur les collines. Les pupilles doivent s’adapter à tant de détails. Des toits de tuile, le regard court vers le pont du 25 avril.
Le ferry de Lisbonne est passé.












Plus tard, je découvre le Barro Alto y Chiado, l'Alfama, le Castelo de San José, l'Alcantara ou encore le quartier de Belém plus excentré. Je piste la fresque d’Akacorleone et parviens à dénicher sa rue sur la colline de Graça. Je monte dans un tramway, ici et là. J'aime me perdre dans l'Alfama.

